Message
de Iahve aux hommes de la terre: l'apocalypse du cataclysme nucléaire final
Moi
Iahvé, par la bouche de mon prophète Raël, je m'adresse aux hommes de la Terre.
Il
n'y a malheureusement qu'une chance sur cent pour que votre humanité ne s'autodétruise
pas, et tout raëlien doit agir comme si les hommes allaient finalement avoir
la sagesse de saisir cette toute petite chance d'échapper au cataclysme final
pour pénétrer dans l'âge d'or. Mieux, chaque raëlien contribue par son travail
d'éveilleur d'esprit à donner de la force à cette unique et infirme chance
de survie, à éviter qu'elle s'amenuise davantage.
Il
est impossible de prédire l'avenir, car il est impossible de voyager dans
le temps, mais il est possible de prédire l'avenir d'une entité biologique,
et l'humanité en entier peut être considérée comme une entité biologique.
Un scientifique qui féconde une femme primitive peut prédire son avenir à
cette femme, il peut lui annoncer que neuf mois plus tard elle accouchera
d'un enfant et même lui dire quel sera le sexe de l'enfant.
De
la même façon, nous qui avons l'habitude de créer la vie sur une infinité
de planètes, nous savons avec précision ce qui se produit lorsqu'une humanité
arrive à votre niveau technologique sans avoir atteint un niveau de sagesse
équivalent.
Voilà
pourquoi, alors que l'on ne peut pas prédire l'avenir des individus, I'on
peut prévoir ce qui doit normalement arriver à un organisme vivant en cours
de gestation, ou à une humanité en cours d'évolution.
Lorsqu'une
première cellule est créée dans le ventre d'une mère par la rencontre d'un
spermatozoïde et de rovule, elle pos sède en elle toutes les informations
pour créer un être complet, doué d'une multitude de fonctions. Et plus les
cellules sont nom breuses, plus les fonctions développées sont nombreuses.
Le nom bre des fonctions est proportionnel au nombre des cellules obte nues
par divisions successives, jusqu'à obtenir un enfant prêt à naître parce que
possédant un organisme réunissant les organes utiles à l'accomplissement de
toutes les fonctions dont il aura besoin
C'est
exactement la même chose pour l'humanité, en considérant chaque homme comme
une cellule du grand être en gestation qu'est l'humanité
Le
nombre des fonctions, des découvertes, et le niveau technologique des hommes
est proportionnel au nombre des humains. Nous pouvions donc prévoir facilement
que l'âge de l'Apocalypse serait là lorsque les hommes seraient capables de
faire voir les aveugles en fabriquant des prothèses électroniques, lorsqu'ils
seraient capables de faire porter leur voix par-delà les océans en fabriquant
des satellites de télécommunication, lorsqu'ils seraient capables de s'égaler
à ce qu'ils prenaient pour « dieu en créant des êtres synthétiques en laboratoire,
etc.
Toutes
ces prédictions reposent en fait sur une connaissance approfondie de la biologie
des espèces. L'on sait qu'un foetus va former ses yeux à tel mois de sa croissance,
son sexe à tel mois, etc., et pour une espèce vivante en cours de progression,
l'on sait qu'elle fera les découvertes lui permettant d'accomplir telle ou
telle prouesse scientifique au bout de tant de siècles ou de millénaires.
C'est exactement la même chose.
Nous
avons dicté à nos messagers anciens ces textes afin d'être reconnus par les
hommes quand les temps seraient venus de leur apparaître ouvertement sans
que cela crée de nouvelles reli Pions déistes. auand ils seraient capables
de comprendre.
Parmi
ces textes, nous avons dicté à Jean l'Apocalypse, nous lui avons fait voir
dans l'un de nos appareils à visualiser les événements qui sont assez semblables
à vos téléviseurs ce qui pourrait arriver aux hommes lorsqu'ils seraient parvenus
à l'âge de l'Apocalypse.
Le
texte de l'Apocalypse de Jean a lui aussi été malheureusement très surchargé
et assez déformé par des copistes qui ne pouvaient être que déistes, étant
primitifs.
Jean
commence d'ailleurs son récit en décrivant sa rencontreavec nous
«
J'ai été en esprit au jour seigneurial et j'ai entendu der rière moi une Arande
voix comme de trompette. "
(Apocalypse
de Jean, I, 10.)
Il-explique
qu'alors qu'il essayait de communiquer télépathiquement avec nous ce qu'il
appelle « être en esprit », un dimanche qui est nommé le « jour seigneurial
», il a entendu une voix métallique, « comme de trompette ", ce que vous
con naissez bien vous qui avez l'habitude d'entendre les sons produits par
des haut-parleurs électriques.
Puis
Jean se retourne pour voir ce qui est derrière lui:
«
Je me retournais voir cette voix qui me parlait et je vis sept lampes d'or
«
et au milieu des lampes une sorte de fils d'homme revêtu jusqu'aux pieds,
ceint à hauteur de poitrine d'une ceinture or,
«
sa tête et ses cheveux blancs comme une laine blanche comme neige, ses yeux
comme une flamme de feu,
«
ses pieds pareils à du bronze du Liban comme en fournaise ardente, sa voix
comme la voix des grosses eaux,
«
avec sept étoiles dans sa main droite et une épée aiguë à deux tranchants
sortant de sa bouche, et son visage comme brille le soleil dans sa force.
»
(Apocalypse
de Jean, I, 12 à 16.)
Il
voit sept engins volants faits d'un métal doré, " sept lampes d'or »,
au milieu desquelles se tient un petit être, " une sorte de fils d'homme
", revêtu d'une combinaison qui le moule tout entier, même les pieds,
et qui porte une grosse ceinture. Sa peau et ses cheveux sont blancs, le casque
de son scaphandre possède deux petits projecteurs que Jean prend pour des
yeux, ses pieds reposent sur d'épaisses semelles isolantes en métal jaune,
et il parle d'une voix puissante « pareille à la voix des grosses eaux ».
Il tient dans sa main un appareil comportant sept voyants lumineux qui le
relie aux sept engins volants qui sont stationnés autour de lui. L'épée aiguë
à deux tranchants n'est-elle en revanche qu'un détail rajouté par la suite
par les copistes pour rendre l'apparition menaçante et pour renforcer sa puissance
et donc la « crainte de dieu » des premiers chrétiens. L'être qui apparut
à Jean était bien l'un d'entre nous.
Jean,
affolé, s'aplatit face contre terre:
«
Quand je l'ai vu je suis tombé comme mort à ses pieds. Il a posé sur moi sa
droite, il m'a dit: Ne crains pas, je suis le premier et le dernier
«
et le vivant. J'ai été mort et voici, je suis vivant dans les âges des ges
et j'ai les clés de la mort de l'Hadès.
«
Ecris donc ce que tu as vu et ce qui va être après. »
(Apocalypse,
I, 17 à 20.)
Nous
avons demandé à Jean de se relever et lui avons dit qu'il allait devoir écrire
ce qu'il avait vu et ce qui allait lui être dicté afin que les hommes puissent
retrouver ces écrits lorsque les temps seront venus. Nous lui avons dit que
nous étions le « premier et le dernier », c'est-à-dire les premiers sur la
Terre, et les derniers si les hommes s'autodétruisent lorsqu'ils auront découvert
les énergies le leur permettant. Nous lui avons expliqué que celui qui leur
parlait avait connu la mort et qu'il avait été recréé, grâce au processus
expliqué dans le premier message et qui nous permet de vivre éternellement
à travers plusieurs corps.
«
Après quoi j'ai vu, et voici une porte ouverte dans le ciel. Et la première
voix, comme de trompette, qui m'avait parlé m'a dit: Monte ici que je te montre
ce qui doit être après.
«
Aussitôt j'ai été en esprit et voici, un trône était dans le ciel et quelqu'un
assis sur le trône. » (Apocalypse, IV, 1 et 2.)
Jean
voit une « porte ouverte dans le ciel », la porte de l'un de nos engins volants
s'ouvre, et il est conduit dans l'un de ces engins par un rayon porteur, ce
qui est incompréhensible pour lui, c'est pourquoi il dit « en esprit ». Là,
il voit quelqu'un assis dans un fauteuil, et autour de lui sur d'autres trônes,
d'autres personnages sont assis, vingt-quatre en tout.
Ce
personnage, c'était moi Iahvé et j'étais entouré de vingt quatre autres éternels
représentant le conseil des Eternels gouvernant nntrP nl~nPtP
Puis
j'ai mis en route devant Jean l'appareil à visualiser les pensées et il a
pu voir ce qui allait arriver normalement à l'huma nité, et ce qui risquait
de lui arriver lorsque les temps seraient venu.c
«
Et j'ai vu, et voici un cheval blanc et celui qui était dessus avait un arc.
On lui a donné une couronne et il est sorti vain queur pour vaincre. » (Apocalypse
de Jean, VI, 2.)
Cela
concerne le premier des sept sceaux, ou encore des sept chapitres de l'histoire
de l'humanité. Il s'agit en fait du chris tianisme qui triomphe sur la terre
et qui permet à l'Ancien Testament d'être connu de tous. Puis le deuxième
sceau est ouvert:
«
Un autre cheval est sorti, rouge. Celui qui était dessus, on lui a donné d'ôter
la paix de la terre, que les gens s'entrégor gent et on lui a donné un grand
sabre. » (Apocalypse, VI, 4.)
Ce
cheval rouge représente les guerres de religions, et les guerres en général,
qui vont être l'une des principales causes du retardement du développement
du nombre des humains. Puis vient le troisième sceau: « ... Et j'ai vu, et
voici un cheval noir et celui qui est dessus avait une balance à la main.
« Et j'ai entendu comme une voix au milieu des quatre ani maux crier: Un denier
la mesure de blé ! un denier les trois mesures d'orge ! et l'huile et le vin
ne les gâche pas ! » (Apocalypse, VI, 5 et 6.)
Ce
cheval noir, c'est la famine qui représentera un nombre considérable de décès
avant que les hommes ne la résolvent com nlètement sur la terre. Puis vient
le quatrième sceau:
«
Et j'ai vu, et voici un cheval vert et celui qui était dessus s'appelait La
Peste. Et l'Hadès le suivait. » (Apocalypse, VI, 8.)
Le
cheval vert, ce sont les grandes épidémies, la peste et bien d'autres qui
décimeront aussi l'humanité. Le cinquième sceau est alors brisé:
«
Quand il a ouvert le cinquième sceau, j'ai vu sous l'auteI les âmes de ceux
qui ont été égorgés à cause de la parole de Dieu et à cause du témoignage
qu'ils portaient.
«
Ils ont crié très fort: Jusqu'à quand maître saint et véri table, ne juges-tu
pas et ne venges-tu pas notre sang sur les habi tants de la terre ?
«
On leur a donné à chacun un vêtement blanc et on leur a dit de se reposer
encore un peu tant que ne seront pas au complet leurs compagnons d'esclavage,
leurs frères qui vont être tués comme eux. »
(Apocalypse,
VI, 9 à 11.)
Cette
scène représente ce qui s'est produit lorsque les grands prophètes qui vivaient
éternellement en notre compagnie sur notre planète nous ont demandé de permettre
aux hommes ayant agi positivement d'être recréés avant que le jugement final
n'ait eu lieu, et nous avons permis aux quelques milliers de terriens que
nous avons recréés de vivre tout de suite parmi nous alors que nous voulions
conserver leur code génétique pour les réincarner seulement lorsque l'humanité
aurait terminé son évolution. Puis le sixième sceau a été ouvert:
a
Et j'ai vu quand il a ouvert le sixième sceau, et ç'a été une grande secousse,
le soleil a été noir comme un sac de crin, la lune entière a été comme du
sang,
«
les étoiles du ciel sont tombées sur la terre comme un figuier, secoué de
grand vent, jette ses figues vertes,
a
le ciel s'est retiré comme un livre qu'on roule et toute mon tagne ou île
ont été bougées de leur lieu.
«
Les rois de la terre, les grands, les chefs, les riches, les forts et tout
homme libre ou esclave se sont cachés dans les antres et dans les roches des
montagnes. »
(Apocalypse,
VI, 12 à 15.)
Ce
sixième sceau représente le danger final pour l'humanité, le plus grand danger,
celui qui peut la détruire totalement, la guerre atomique. La « grande secousse
», c'est l'explosion pro prement dite, le « soleil noir ~, c'est l'obscurcissement
du ciel par le champignon et les poussières que vous connaissez bien maintenant
et qui fait que la lune paraît plus foncée. Le « ciel qui se retire » ce sont
les nuages qui sont chassés brutalement par la colonne d'air chaud qui se
dégage. Quant aux hommes qui se cachent dans les roches des montagnes, c'est
la ruée vers les abris antiatomiques.
C'est
de cette catastrophe finale, si elle a lieu que seront sauvés ceux qui suivent
notre prophète, ceux qui ayant pris connaissance de nos messages auront fait
effectuer la transmis sion de leur plan cellulaire. Ceux-là auront été sélectionnés
par le grand ordinateur qui surveille tous les hommes de leur con ception
à leur mort.
a
Et j'ai vu un autre ange monter du soleil levant avec le sceau du dieu vivant.
Il criait très fort aux quatre anges à qui on a donné de nuire à la terre
et à la mer:
«
Ne nuisez pas à la terre ni à la mer ni aux arbres tant que nous n'aurons
pas scellé au front les esclaves de notre Dieu. ~
(Apocalypse,
VII, 2 et 3.)
Ceux
qui sont scellés au front, ce sont ceux qui ont fait effectuer la transmission
de leur plan cellulaire, par contact manuel entre notre prophète et l'os frontal
qui contient le code génétique le plus pur et le plus fidèle. Le total de
ceux qui seront a scellés au front » sera d'à peu près cent quarante-quatre
mille, y compris ceux qui ont déjà été recréés sur notre planète, ceux qui,
sans avoir pris connaissance des messages, auront mené une vie tournée vers
le progrès et l'épanouissement de l'humanité, et ceux qui, ayant lu les messages,
auront reconnu Raël comme étant notre messager.
Aussi
longtemps que le total de ces hommes ne sera pas d'environ cent quarante-quatre
mille, nous ferons en sorte que le cataclysme final soit retardé, afin d'avoir
un nombre d'humains suffisant pour recommencer une nouvelle génération sur
la terre lorsqu'elle sera de nouveau habitable.
Si
le sixième sceau représente la découverte et les premières utilisations de
l'arme atomique, le septième sceau représente le cataclysme final, la guerre
atomique mondiale aboutissant à la destruction de toute vie sur la terre.
Lorsque
la première trompette du septième sceau résonne:
«
... ç'a été de la grêle et du feu mêlés de sang et jetés sur la terre, et
le tiers de la terre a été brûlé, le tiers des arbres ont rû e, toute herbe
verte a brûlé. »
(Apocalypse,
VIII, 7.)
Le
tiers de la terre est brûlé par la radioactivité, les arbres et l'herbe verte
ne poussent plus.
«
Le deuxième ange a trompetté et une sorte de grande mon tagne de feu ardent
s'est jetée dans la mer, et le tiers de la mer a été du sang,
«
le tiers des créatures qui vivent dans la mer sont mortes, le tiers des navires
ont été détruits. »
(Apocalypse,
VIII, 8.)
L'explosion
atomique a produit une énorme erruption de lave qui s'est écoulée dans les
océans et a tué le tiers des animaux marins et détruit le tiers des navires.
«
Le troisième ange a trompetté, et une grande étoile ardente comme une torche
est tombée du ciel. Elle est tombée sur le tiers des fleuves et sur les sources
des eaux.
«
Le nom de cette étoile est absinthe et le tiers des eaux ont été de l'absinthe
et beaucoup d'hommes sont morts à cause des eaux devenues amères. »
(Apocalypse,
VIII, 10 et 11.)
Les
explosions atomiques se succèdent en riposte aux pre mières attaques, des
missiles, de « grandes étoiles ardentes » tombent un peu partout, et les eaux
potables sont pour une grande partie polluées et tuent beaucoup d'hommes qui
en boivent.
«
Le quatrième ange a trompetté, et le tiers du soleil et le tiers de la lune
et le tiers des étoiles ont été frappés. Ils ont été obscurcis d'un tiers
et le jour a brillé un tiers en moins et la nuit de même. ~
(Apocalypse,
VIII, 12.)
Les
poussières et les cendres soulevées par les explosions nucléaires successives
sont tellement nombreuses qu'elles obscur cissent le ciel, cachent le soleil,
la lune et les étoiles et don nent l'impression que le jour et la nuit sont
plus courts.
«
Le cinquième ange a trompetté et j'ai vu une étoile qui était tombée du ciel
sur la terre. On lui a donné la clé du puits de l'abîme.
«
Elle a ouvert le puits de l'abîme et une fumée est montée du puits comme une
fumée de grande fournaise, et le soleil et l'air ont été obscurcis par la
fumée du puits. »
(Apocalypse,
IX, 1 et 2.)
Description
de la chute d'un missile et du champignon qu'il produit.
«
De cette fumée sont sorties des sauterelles pour la terre et on leur a donné
un pouvoir comme le pouvoir qu'ont les scor pions sur la terre.
«
On leur a dit de ne pas nuire à l'herbe de la terre ni à aucune verdure ni
à aucun arbre mais seulement aux hommes qui n'ont pas le sceau de Dieu sur
leur front.
«
On a donné non de les tuer mais de les tourmenter cinq mois et ce tourment
est comme un tourment de scorpion quand il pique un homme.
«
En ces jours les hommes chercheront la mort et ne la trou veront pas, ils
désireront mourir et la mort les fuira.
(Apocalyse.
IX. 3 à 6.)
Les
sauterelles sont des avions chargés de bombes atomiques qui vont tomber sur
les grandes cités et infliger aux hommes qui ne mourront pas de l'explosion,
des souffrances épouvantables dues à l'exposition à la radioactivité. Ils
seront empoisonnés par les radiations comme on peut l'être par la piqûre d'un
scorpion.
«
L'aspect des sauterelles était pareil à des chevaux prêts pour la guerre,
avec sur leur tête des sortes de couronnes pareilles à de ror~ et leurs faces
pareilles à des faces d'hommes.
«
Elles avaient des cheveux comme des cheveux de femmes et des dents comme des
dents de lions.
«
Elles avaient des thorax comme des thorax de fer et le bruit de leurs ailes
était comme le bruit de chars et de chevaux qui courent à la guerre.
«
Elles ont des queues pareilles aux scorpions avec des dards, et dans leurs
queues est le pouvoir de nuire aux hommes cinq mois. »
(Apocalypse,
IX, 7 à 10.)
Ces
« sauterelles » métalliques, recouvertes de métal pour un primitif, comme
un cheval qui part pour la guerre, ont un cock pit à l'intérieur duquel l'on
voit le visage d'un homme, « leurs faces pareilles à des faces d'hommes »,
et en volant très haut dans le ciel elles laissent une trâînée blanche que
Jean appellé des cheveux, leurs « dents » ce sont les missiles accrochés sous
leurs ailes, le « thorax de fer » c'est le fuselage, le bruit, c'est celui
des tuyères des réacteurs que vous connaissez bien. Quant au pouvoir qui est
dans « la queue des sauterelles », c'est les radiations que les missiles envoyés
continueront à diffuser aux populations des Pays attaqués.
«
Le sixième ange a trompetté et j'ai entendu une voix sortir des quatre cornes
de l'autel d'or qui est devant Dieu. »
(Apocalypse,
IX, 13.)
Jean
décrit là les quatre haut-parleurs situés devant moi lors que je lui faisais
assister à tout cela.
«
Et voici comme j'ai vu les chevaux dans ma vision, avec sur eux leurs cavaliers
en cuirasses de feu, de hyacinthe et de soufre: les têtes des chevaux sont
comme des têtes de lions et de leurs bouches sortent du feu, de la fumée et
du soufre.
«
Le tiers des hommes ont été tués par ces trois plaies, par le feu, la fumée
et le soufre sortis de leurs bouches,
«
car le pouvoir des chevaux est dans leurs bouches et dans
leurs
queues, car leurs queues pareilles à des serpents ont des têtes par lesquelles
elles nuisent. »
(Apocalypse,
IX, 17 à 19.)
C'est
encore là la description d'autres avions, la « tête des chevaux » c'est en
fait la sortie des réacteurs, d'où sortent des flammes et de la fumée, et
les queues qui ont « des têtes par lesquelles elles nuisent » sont en fait
des missiles nucléaires, et vous savez très bien que l'on parle de la « tête
» des missiles, qu'ils soient ou non à tête chercheuse. Les explications les
plus détaillées possible que nous avons données à Jean ont donné cette étrange
description, et si vous faisiez l'expérience d'expli quer une succession semblable
de scènes à un primitif d'Ama zonie et si vous lui demandiez d'écrire ce qu'il
a vu, cela don nerait à peu près la même chose, surtout si vous demandez à
une dizaine de ses congénères de recopier ce qu'il a écrit hors de sa Drésence.
«
Et quand les sept tonnerres ont parlé j'allais écrire et j'ai entendu une
voix du ciel me dire: Scelle ce dont parlent les sept tonnerres, ne l'écris
pas. » (Apocalypse, X, 4.)
Là,
nous avons clairement dit à Jean qu'il n'y avait pas de dieu, et que nous
étions des hommes comme lui, mais cela risquant de créer une confusion encore
plus grande parmi les hommes ayant besoin d'une telle « béquille » aussi longtemps
qu'ils n'ont pas atteint un niveau technologique suffisant, nous lui avons
demandé de ne pas écrire ce qui lui était expliqué, en lui rappelant qu'un
jour viendrait où tout cela pourrait être compris par tous les hommes.
«
... aux jours de la voix du septième ange quan~ il va trom petter, le mystère
de Dieu aussi sera fini comme il en a avisé ses esclaves les prophètes. »
(Apocalypse, X, 7.)
Nous
lui avons clairement expliqué que lorsque le temps sera venu, les hommes comprendront
qu'il n'y a pas de dieu, et com prendront que nous sommes leurs créateurs.
«
... le diable est descendu chez vous avec grande fureur
(Apocalypse,
XII, 12.)
sachant
qu'il a peu d'instants. »
Cette
épreuve finale pour l'humanité que constitue le choix entre l'autodestruction
et le passage dans l'âge d'or constitue la dernière possibilité pour Satan
de prouver qu'il avait raison de dire que l'humanité était mauvaise. Si l'humanité
surmonte brillamment cette épreuve et arrive à obtenir un désarmement total
sur toute la planète, les hommes nous prouveront qu'ils sont dignes de recevoir
notre héritage étant non violents. La « bête » qui est décrite plus loin,
c'est tout simplement l'utilisation de l'énergie nucléaire à des fins meurtrières.
«
Que l'intelligent calcule le chiffre de la bête, car c'est un chiffre d'homme
et ce chiffre est six cent soi~ante-six. »
(Apocalypse,
XIII, 18.)
Six
cent soixante-six, c'est le nombre de générations humaines qui se sont succédé
sur terre depuis la création des premiers hommes dans les laboratoires originels.
Les premiers hommes ayant été créés il y a environ treize mille ans, si l'on
multiplie la durée d'une génération humaine estimée à vingt ans par six cent
soixante-six on obtient un total de treize mille trois cent vingt ans. La
génération qui est née au commencement de l'âge de l'Apocalypse en 1945 de
l'ère chrétienne était la six cent soixante-sixième depuis la création en
laboratoire du premier homme par les Elohim.
Cette
génération coïncide justement avec la première utilisation à des fins meurtrières
de l'énergie nucléaire le 6 août de cette année 1945 à Iroshima.
Il
n'y avait encore une fois pas besoin d'interpréter pour com prendre. Il suffisait
de lire ce qui était écrit. Six cent soixante-six était effectivement un «
chiffre d'homme », un nombre d'hom mes qui se sont enfantés depuis le commencement,
depuis la création, un nombre de générations.
«
Et ç'a été des éclairs, des voix, des tonnerres, et c'a été une grande secousse
telle qu'il n'a pas été de pareille secowse, aussi grande, depuis que l'homme
a été sur la terre. ~
(Apocalypse,
XVI, 18.)
La
secousse due aux explosions atomiques est énorme, et devient encore plus forte
si elle déclenche une réaction en châîne.
«
Et toute île s'est enfuie, et on n'a plus trouvé de montagne. »
(Apocalypse,
XVI, 20.)
Cette
monstrueuse explosion due à la réaction en chaîne fait dériver brutalement
les continents, engloutit les îles et balaie les montagnes comme fétu de paille.
«
Une grande grêle comme des lingots descend du ciel sur les hommes... »
(Apocalypse,
XVI, 21.)
Dans
les parties n'ayant pas souffert de l'explosion, des roches tombent du ciel
à des milliers de kilomètres des points de chute des bombes.
«
Et j'ai vu un nouveau ciel et une nouvelle terre, car le pre mier ciel et
la première terre s'en sont allés et la mer n'est plus. »
(Apocalypse,
XXI, 1.)
Jean
a pu voir là ce que l'on pourrait voir d'une fusée qui s'éloigne de la terre.
L'on a l'impression que c'est la terre qui s'éloigne alors que c'est le vaisseau
dans lequel on est qui s'éloigne. Puis ce vaisseau voyage à travers les étoiles,
dans un ciel qui n'a plus rien de familier pour un terrien, un « nouveau ciel
», et le vaisseau se rapproche d'une autre planète, d'une « nouvelle terre
».
«
Et j'ai vu la ville sainte, la nouvelle Jérusalem, descendre du ciel, d'auprès
de Dieu, prête comme une épouse parée pour son homme. »
(Apocalypse,
XXI, 2.)
Vu
du vaisseau le primitif a l'impression que la ville vers laquelle le vaisseau
va atterrir « descend du ciel » alors que c'est bien évidemment l'engin spatial
qui s'en rapproche.
«
Voici l'abri de Dieu avec les hommes. Il s'abritera avec eux et eux seront
ses peuples, et lui sera le Dieu avec eux.
«
Il effacera toutes larmes de leurs yeux. La mort ne sera plus. Deuil, cri
ni douleur ne seront plus, car le premier univers s'en est allé. »
(Apocalypse,
XXI, 3 et 4.)
C'est
là la description de la planète des Eternels où tous les hommes que nous sauverons
de la catastrophe vivront avec nous éternellement en attendant d'être réimplantés
sur la terre lors qu'elle sera de nouveau habitable pour recréer une civilisation
pacifique.
Voilà
ce qui attend l'humanité si elle ne fait pas en sorte que son niveau de sagesse
soit aussi élevé que son niveau technolo gique.
Tout
cela était vu par un primitif, car Jean était un primitif par rapport à nous,
comme Moïse l'était lui aussi, comme Jésus l'était lui aussi, comme tous nos
prophètes l'étaient par rapport à notre niveau avant que nous leurs donnions
une initiation suf fisante pour pouvoir entrevoir ce qu'était une certaine
maîtrise de la matière, comme vos scientifiques les plus évolués le sont par
rapport à ce que nous sommes capables d'effectuer actuel lement, et comme
les Indiens d'Amazonie le sont par rapport aux scientifiques du Cap Canaveral.
C'est
hélas ce qui attend les hommes avec quatre-vingt-dix neuf pour cent de chance.
Vous devez, vous qui nous reconnaissez comme vos créateurs et qui reconnaissez
Raël comme notre messager vous battre néanmoins pour faire en sorte que la
toute petite chance de survie soit saisie par les humains en leur appor tant
nos messages. Dans ce cas, vous pouvez vivre tranquilles, en cherchant tout
de même à vous épanouir. Car si vous êtes parmi les justes qui font le maximum
pour faire triompher la non-violence et la vérité, vous savez que nous vous
sauverons de toute façon du désastre. Battez-vous pour l'amour, la fraternité
et rintelligence, mais ne vous désolez pas si vous voyez que la majorité des
hommes continuent d'être violents, agressifs et bêtes. Ou bien cela finira
par être payant en amenant insensi blement les hommes à avoir une conscience
planétaire, et toute la planète entrera dans l'âge d'or, ou tout sautera et
vous serez ceux aue nous sauverons pour tout rebâtir.
Moi
Iahvé, l'alpha et roméga, celui qui était le premier sur la terre et qui y
sera le dernier, j'adresse ce message aux homme de la terre par la bouche
de mon prophète Raël.
A
ces hommes que nous avons créés, que nous avons essayé de guider vers râge
d'or, et que nous aimons comme s'ils étaient nos propres fils.
Que
la paix règne sur la terre pour les hommes de bonne volonté. pour ceux aui
ont la volonté d'être heureux.
Notre
héritage est prêt, il suffit maintenant que l'enfant ne meure pas en naissant.
A vous de jouer !