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Un certains nombre de Webmaster ont, parce qu'ils avaient critiqué quelque peu vertement les palinodies clonantes de madame Brigitte Boisselier, le mail suivant :
Bonjour Nous vous prions de modérer vos propos concernant Raël et Clonaid Pour votre information voici ci-dessous, le jugement en notre faveur, rendu par le tribunal Correctionnel de Paris du 25 juin 2002, à l'encontre de l'ADFI qui n'a pas modéré ces propos. Merci de bien vouloir retirer le commentaire concernant Raël, lorsque le curseur de la sourie passe sur la photo. Sans quoi nous serions en mesure de porter plainte contre vous. Cordialement Olivier Galicia pour la Religion Raëlienne JUSTICE- JUDICIAIRE Les Raeliens et la société Clonaid poursuivent des recherches sérieuses sur le clonage humain. Le jugement du Tribunal Correctionnel de Paris, chambre de la presse, du 25 juin 2002, énonce : « .Le journaliste reprend l'opinion de Monsieur Cossu, interrogé au titre de ses engagements au sein de « L'Union Nationale des Associations de Défense des Familles et de l'Individu » qui déclare que l'objectif du projet est de « gagner de l'argent » et qu'il s'agit d' « une vaste escroquerie ». Cette allégation unique, laquelle consiste à accuser les raeliens d'agir dans un but mercantile et d'abuser ainsi de la confiance du public est manifestement diffamatoire (.). C'est ainsi que le paragraphe, duquel est extrait la phrase incriminée, entend critiquer vertement les pratiques de la Société Clonaid, dont le but serait de tromper les personnes intéressées par le clonage, afin de les amener à lui verser de l'argent sans offrir une contrepartie équitable. ..le texte litigieux (..) intéresse la Société Clonaid et les Raeliens pris dans leur ensemble ». Il résulte de ce jugement que : -le projet de clonage humain prédit et encouragé par RAEL est sérieux. -que prétendre que le projet dans lequel des Raeliens et la Société Clonaid sont impliqués aurait un but mercantile ou constituerait une vaste escroquerie est diffamatoire. Les journalistes et l'UNADFI ne pourront donc prétendre à la bonne foi s'ils colportent des rumeurs dénigrantes ou des propos dévalorisants sur les Raeliens et la société Clonaid. |
S'il est exact que ces propos figurent bien dans le texte du jugement - que j'ai eu sous les yeux -, le jugement en question n'a pas été rendu en faveur de madame Brigitte Boisselier qui, en réalité, a été débouté de toutes ses demandes et de sa constitution de partie civile.
En effet ni Clonaid, ni le mouvement raélien n'étaient parties prenantes dans cette affaire. Seule Brigitte Boisselier avait attaqué et en son nom, le Journal du Dimanche auteur de cet article. Pour résumer la position des juges, pour autant que les propos en question pouvaient être considérés comme diffamatoire - et on ne peut pas dire que la suite des événements leur ait donné raison - Madame Brigitte Boisselier n'était pas personnellement visée par les dites déclarations et qu'en l'absence de l'implication de la personne morale dans la procédure (Clonaid ou le mouvement raélien) - dont nous savons qu'elle était en réalité parfaitement fantomatique à la date de la procédure Clonaid ayant été dissoute - dès 1997 sous sa forme Valiant Venture et dès juin 2001 (l'association Boisselier / Marc Hunt) - il n'y avait donc pas lieux d'entre en condamnation contre le Journal du dimanche auteur de l'article .
Quant au caractère de vaste escroquerie - au sens usuel du terme et non pas pénal - il a largement été démontré tout au long l'année 2003.
Enfin prétendre à l'existence d'une structure commerciale parfaitement fantomatique, peut être interprété comme constitutif d'une manoeuvre frauduleuse destinée à gagner la confiance de tiers au moyen d'une entreprise qui n'a aucune existence - en dehors de la seule personne de B.Boisselier et de son site Web -
Affirmer que le tribunal de Paris aurait rendu un jugement en faveur du mouvement raélien contre l'A.D.F.I. sur l'affaire Clonaid est un donc mensonge au premier comme au second degré.
Le paragraphe en question appelle le commentaire suivant : Même si les juges dans leur attendus retiennent que les propos en question pouvaient être considérés comme diffamatoire contre les Raëliens et Clonaid, ils n'ont pas examiné les autres moyens de défense à savoir, l'offre de la preuve quant à la véracité de la qualification d'escroquerie proposée par le JDD : "En tout état de cause, il entend apporter la preuve de la véracité des faits diffamatoires, les propos litigieux n'étant selon lui que le reflet de la stricte vérité", tout simplement parce qu'à partir du moment où Brigitte boisselier était déboutée sur la base du fait que "les propos poursuivis ne contenait pas en eux même d'allégation de faits précis commis personnellement par madame Boisselier" il n'avait pas à se prononcer sur des faits et donc sur l'offres de preuve afférente pour lesquels elles n'étaient pas personnellement mise en cause nonobstant le fait que ni Clonaid, ni le mouvement raélien n'étaient intimant dans cette affaire.Ce qui est train différent que d'affirmer que les juges auraient reconnu que : " le projet de clonage humain prédit et encouragé par RAEL est sérieux ." ou " que prétendre que le projet dans lequel des Raëliens et la Société Clonaid sont impliqués aurait un but mercantile ou constituerait une vaste escroquerie est diffamatoire. " Tandis qu'en réalité ils n'ont pas jugé nécessaire : d'examiner les autres moyens soulevés par la défense, donc de se prononcer sur la validité de l'offre de preuve présentée par le Journal du Dimanche pour moyen de sa défense.
Quant la bonne foi, elle n'est pas, de toute évidence du côté de ceux qui tronquent un jugement dans le seul but de faire accroire qu'ils auraient gagné un procès qu'ils ont en réalité perdu afin d'intimider des Internautes dont le seul crime aux yeux des raéliens est de se montrer par trop critique à leur égard.